Vite dit...Vite lu...

Grand Tarbes : 10 millions d’euros investis en 2014. A l’instar de leur président Gérard Trémège, les conseillers communautaires du Grand Tarbes entendent poursuivre les investissements en 2014 malgré la baisse annoncée des dotations de l’Etat. C’est indispensable pour préserver l’économie locale. Mais pour cela, il ne sera pas procédé à une hausse de la fiscalité. L’évolution des bases de la Taxe d’habitation et de la Cotisation foncière des entreprises permettront d’augmenter les recettes fiscales de 410 000 euros. 10 millions d’euros environ seront donc investis. L’aménagement du bâtiment 313 en complexe multisports - projet important - réclame pour la première année plus de 3 millions d’euros. Un million d’euros sont aussi prévus à la ZAC du Parc de l’Adour à Séméac-Soues, ainsi que des travaux de rénovation au conservatoire Henri-Duparc, à l’école de musique de Séméac et à la bibliothèque d’Ibos. Les piscines du Grand Tarbes, principalement celle de Séméac, poursuivront leur rénovation.

Encore bloqués. Depuis le 8 novembre, six employés restent bloqués au Pic du Midi. Hier, dimanche, le mauvais temps a encore empêché toute évacuation par hélicoptère. Le dimanche 17, une amélioration de la météo avait permis de redescendre dans la vallée 7 scientifiques également coincés au sommet. Aujourd’hui, on espère qu’une fenêtre météo permettra de redescendre ces personnels qui n’ont pas revu leurs familles depuis maintenant 17 jours. Le pic du Midi a prévu d’ouvrir l’accès au public le 9 décembre.

Payolle régale . Hier, l’espace nordique de Payolle était recouvert de 40 à 50 cm de neige, ce qui a permis aux amateurs de ski de fond, de raquettes, de descentes en luge d’effectuer leur première sortie de la saison. Et de s’évader vers les itinéraires uniques autour du lac de Payolle ou dans la forêt de sapins. Hier soir, parents et enfants étaient comblés.

PV électronique à Séméac. Dans notre département, la police municipale de Séméac est à l’avant-garde. La brigadière de service peut dresser des PV électroniques (de 17 à 135 euros) aux contrevenants. Cela facilite et simplifie son travail. L’appareil est un PDA (Personal Digital Assistant) où figurent tous les noms de rues de la commune, ainsi que les marques et modèles automobiles. Ne reste plus qu’à saisir manuellement la plaque minéralogique.