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Nice-Tarbes, samedi 25 mai à 15h00 au Stade Arboras

vendredi 24 mai 2019 par Rédaction

Une affiche historique

Au-delà du côté historique incontestable, cette affiche est la plus relevée des Quarts Du Manoir. C’est la seule qui concerne sportivement deux troisièmes de Poule, puisque Nice et Tarbes se sont vus retirer respectivement 10 et 8 points au classement. Si Tarbes a pu préserver sa troisième place Nice a rétrogradé à la quatrième place, ce qui lui vaut de recevoir ce premier quart Aller. Pour les deux équipes, ce sera leur dernier match à domicile puisque les demi-finales et la Finale, se joueront sur un seul match sur terrain neutre. En cette fin de saison, usante pour les organismes par sa longueur, tout se jouera collectivement dans les têtes. C’est le Groupe, le plus déterminé à prolonger l’aventure ensemble et à retarder ses vacances en famille, qui passera ce tour et les autres. Nice s’est construit dans la continuité ces trois dernières années avec le même staff et le même groupe de joueurs. La culture niçoise est restée la même avec un jeu agressif, bâti sur la conquête. Un état d’esprit bien illustré par un entraîneur et cinq joueurs georgiens dans l’effectif.

L’avis des entraîneurs et les Groupes

Un match jouissif pour Nice

Hervé Moni, Manager et Directeur Sportif

Hervé Moni n’a pas le palmarès de son frère Christophe, ancien international, mais c’est bien lui qui a été choisi, il y a trois ans, pour emmener Nice vers le haut niveau. Le Manager niçois avoue modestement : « Moi, j’étais un obscur joueur de rugby (rires... » Ce match contre Tarbes lui rappelle de bons souvenirs. « Je jouais à Nice avec des anciens tarbais, Eric Berdeu, Vincent Romulus et Bertrand Renaud. J’étais plutôt un joueur de la B et j’ai toujours joué à Nice. Après, je suis allé entraîner Grasse en Fédérale 2 et Fédérale 1, puis je suis revenu sur Nice pour être le Directeur Sportif du club. Je suis en charge de la politique sportive du club, de l’Ecole de Rugby jusqu’aux seniors, pour qu’on se construise à tous les niveaux de catégories. »

 

On s’est construit sur la durée

Le promu niçois a déjoué tous les pronostics en s’imposant d’entrée comme une des meilleures équipes de la Poule Est, capable de rivaliser avec les grosses écuries ; Bourgoin, Dijon et Chambéry. Et ce, avec pratiquement le même effectif qu’en Fédérale 2, avec seulement six arrivées, dont celle du pilier tarbais Koberidze. C’est certainement dans cette continuité que réside la réussite niçoise au niveau au dessus. « C’est un Groupe qui a un staff qui est à peu près le même depuis trois ans et globalement, l’ossature est restée la même. C’est un Groupe qui travaille bien et qui s’est construit sur la durée sur plusieurs saisons ». Un Groupe qui n’avait aucune pression, si ce n’est celle de se maintenir. « L’objectif était de monter et de se stabiliser en Fédérale 1 », confirme le Manager. « Il ne s’agissait pas d’exploser en rêvant de monter encore plus haut, sans construire solidement. » Surtout pour un promu qui débarquait dans une Poule compliquée. « L’objectif initial était de se maintenir rapidement, en s’éloignant des zones sensibles qui pouvaient perturber la confiance d’un collectif. Ça a été rapidement acquis sur des succès plutôt bien construits et bien maîtrisés. Derrière les matchs ont été abordés de la même manière à chaque fois, avec la même envie et la même confiance. »

 

Rigueur, engagement, discipline, jeu…

Un Groupe de joueurs plutôt hétérogène avec une brigade de cinq georgiens très expérimentés et une autre de quatre jeunes écossais talentueux. « Ce sont des joueurs qui amènent une plus value, à la fois par leur expérience mais aussi par leur état d’esprit. Les Ecossais, à l’image des Anglo-Saxons, sont des joueurs rigoureux, engagés, disciplinés, tout comme les Georgiens. » Le tout est chapeauté par David Bolgashvili, un entraîneur georgien rigoureux, passé par Lille. « David nous amène beaucoup de rigueur et de discipline mais aussi énormément de contenu rugby, ce qui nous permet de construire sur du jeu. » Un Groupe qui a connu une série de blessures qui ont aussi contribué à certaines contreperformances en fin de saison. « On a beaucoup de blessés, c’est une réalité. On a rentré quelques mecs mais on a encore beaucoup de blessés. La saison a été longue pour nous. On a un effectif de 32 joueurs et c’est compliqué de faire en sorte que tout le monde soit sur le pont tout le temps. Et là, sur la fin de la saison, on a des gars qui sont un peu fatigués et qui, du coup, se blessent. On ne fait pas tourner mais on construit l’effectif avec ce qu’il nous reste comme joueurs. On a globalement, huit joueurs du Groupe qui sont sur le flanc. Si l’aventure continue, certains vont commencer à rentrer mais pas tous. » 

 

Stoppés dans leurs rêves

Début janvier, Nice occupait même la deuxième place à égalité avec Bourgoin et à un point de Dijon et pouvait rêver de disputer les Phases Finales avec les « gros », même si le club n’avait pas rempli le dossier d’Accession. Mais Nice, comme Nantes et Tarbes, s’est fait rattrapé par la commission de contrôle et a écopé, après Appel, de 10 points de pénalité, sans rétrogradation. Le réveil était brutal et le rêve d’exploit évanoui. « Ça a joué dans la tête de tout le monde, des joueurs comme des dirigeants », avoue Hervé Moni. « Tout le monde pensait avoir fait les choses dans les règles mais il nous a manqué quelques éléments qu’on n’a pas maîtrisé en arrivant de Fédérale 2. Mais sportivement, ça a aussi joué dans la tête des joueurs qui avaient fait le maximum sur le terrain et à qui, du jour au lendemain, on enlève une partie de ce qu’ils avaient acquis, grâce à leur engagement et à leur détermination. Moi-même, je me sentais un peu floué. » Mais heureusement le Groupe s’est vite retrouvé, même s’il a laissé filé quelques matchs sur la fin alors que la participation au Du Manoir était assurée. « On s’est retrouvé à la maison, avec les ressources et l’envie de bien faire, contre les deux premiers Bourgoin et Dijon. »

 

Lavaur sous estimé

En 1/8, Nice s’est fait un peu peur contre Lavaur pour avoir sans doute un peu mésestimé un cinquième de Poule. « On a été un peu surpris par l’intensité d’une équipe comme Lavaur mais on s’est bien repris à la maison. On a fait un match plutôt plein et plutôt intéressant. C’est là, qu’on voit qu’on a des joueurs globalement compétiteurs. » Hervé Moni, comme l’ensemble du club, a été surpris de la qualité de Lavaur. « C’est une équipe beaucoup plus dense qu’on ne l’imaginait. On avait des retours d’une équipe joueuse mais finalement, ils étaient plus denses que nous avec, à certains postes, des joueurs très athlétiques. » Une équipe qui n’aurait pas dépareillé dans la Poule 4, selon le Directeur Technique. « C’est une équipe qui propose du jeu mais il y avait, dans notre Poule, des équipes qui proposaient un peu plus de jeu, avec une dose d’agressivité équivalente ou un peu au dessus de celle de Lavaur. Après, cette équipe de Lavaur aurait fini dans les quatre premières dans nôtre Poule, sans trop de difficultés, sur ce qu’elle a montré. » Nice l’a emporté en s’appuyant sur les ballons portés avec cinq essais à la clé. Mais tout s’est joué dans les dernières minutes des deux matchs avec un essai niçois à la fin du temps règlementaire lors du match Aller et un essai, manqué d’un rien, par Lavaur en toute fin du match retour à Nice.

 

Mordre à pleine dents dedans

Ce match contre Tarbes est très attendu et cette fois les joueurs ne devraient pas faire la même erreur que contre Lavaur. « Pour moi, qui suis Niçois et pour les anciens, c’est une affiche alléchante. Tarbes, ça rappelle les années 70-90 avec de glorieux joueurs et c’est une affiche très alléchante. C’est très jouissif de disputer des matchs comme ça. Sans faire injure à Lavaur, qui est un très bon club de Fédérale 1 et qui a été très bon sur les deux matchs, c’est sûr que Tarbes, c’est plus alléchant. » La motivation est déjà toute trouvée comme l’espère Hervé Moni. « Après le parcours qu’on a fait, je pense que les joueurs ont acquis une certaine forme d’autonomie, dans leur engagement et de compréhension, face à l’enjeu. En l’occurrence, jouer une Phase Finale du Championnat de France de Fédérale 1 n’arrive pas forcément, toutes les années. Donc, a priori, on mord à pleine dents dedans pour essayer de faire le mieux possible, voire d’aller jusqu’au bout. Si en plus, en face de vous, vous avez une équipe comme le Stadoceste Tarbais qui a une histoire et un passé rugbystique, c’est encore plus valorisant de la jouer. Oui, j’espère qu’on sera bien au rendez-vous à l’Aller comme au Retour. » En fin de compte, ce sont les joueurs qui décideront de prolonger leur aventure commune ou de partir plus tôt en vacances. « C’est effectivement un peu ça (rires…). L’enjeu est très honorifique, derrière il n’y a ni montée, ni descente et les joueurs ont déjà rempli leur contrat », reconnait le Manager. 

 

Préparer l’avenir en Pro D2

Mais déjà, Hervé Moni se projette vers l’avenir après une année de transition prometteuse au niveau des résultats. Avec cinq joueurs sous contrat fédéral dans un Groupe ou les autres sont des joueurs pluriactifs, le Manager a pu mesurer les difficultés engendrées. Compte tenu des six rendez-vous hebdomadaires du mardi, jeudi et vendredi, consacrés au terrain et ceux du lundi (vidéo), du mardi et du jeudi matins (musculation), c’est difficile faire cohabiter des joueurs qui se consacrent uniquement au rugby et d’autres qui ont un boulot. « L’année prochaine, on évoluera sur un standard différent car en fin d’année, on mesure la différence entre ceux qui travaillent à mi-temps, ceux qui travaillent à plein temps et ceux qui ne travaillent pas. Ceux qui se blessent sont ceux qui bossent. C’est un schéma qu’on ne pourra pas conserver longtemps, si on veut que les joueurs soient dans les meilleures conditions pour se préparer. Ceux qui travaillent, même à mi-temps, ne récupèrent pas comme les autres et c’est, très, très compliqué. » Avec un budget global à 2,3 M€, pour l’ensemble des 650 licenciés, section féminine comprise, Nice ne devrait avoir aucun mal à y arriver. « On va se structurer tout doucement et l’année prochaine, on espère avoir entre vingt et vingt-cinq joueurs sous contrats, en comptant des temps partiels. Car on ne pourra pas avoir vingt-cinq joueurs à temps complet. »

Nice en plein renouvellement de contrats

Comme Tarbes, Nice se trouve en plein renouvellement de contrats, avec une dizaine de prolongations. Sylvain Romain, Julien Fritz, Lado Gunavia, Louis Martin, Giorgi Tskitishvili, Mourad Akkaoui, Geoffroy Cazanave, Jonathan Mace, Matthieu Bonnet-Gonnet et le coach Martin Jagr, ont prolongé.

 

Les vainqueurs de Lavaur reconduits

A priori, Nice ne devrait pas rentrer de joueurs pour ce quart Aller. Le troisième ligne capitaine Malavard et l’ex-pilier tarbais Koberidze, ne devraient pas revenir de blessure et le pack devrait être inchangé. Les vainqueurs de Lavaur devraient donc être reconduits.

Le Groupe des 24 niçois

Avants : Tskitishvili, Capps, Akkaoui, Gunavia, Tyumenev, Martin, Bain, Tivoli, Chkhaidze, Domenech, Mace, Erskine, Morel,

Arrières : Cazanave, Akkarmoudi, J. Romain, Kande, Parcheminier, Fritz, Defives, Maquaire, Bonnet-Gonnet, Gigauri, S. Romain

 

Tarbes

Répondre présent dès le premier match

Après s’être fait surprendre au match Aller face à une bonne équipe nantaise, les Tarbais ont remis les choses à leur place au terme du match le plus abouti de la saison, sur l’ensemble des 80 minutes. Nantes, qui y croyait pourtant, s’est fait étouffer d’entrée et a été dominé en agressivité pendant la quasi-totalité de la rencontre. Dans une opposition de style, la puissance tarbaise, en conquête et dans le jeu, a eu raison de la vitesse nantaise. Là, le profil des deux équipes, adeptes de la conquête et du jeu d’avant, est quasiment identique. Même si Nice semble, un peu plus porté sur le jeu, comme le prouve ses 66 essais inscrits en phase qualificative, plus 8 durant les 1/8. Mais contre Lavaur, Nice l’a emporté surtout grâce à la puissance de ses avants et a concrétisé sur des ballons portés. Les Niçois sont aussi des joueurs de caractère. Menés à Lavaur 30-8 à la 51ème minute, les Niçois ont été chercher l’essai de l’espoir à la 80ème minute pour terminer avec seulement douze points de retard. Les Tarbais devront répondre présent dans le combat et la conquête pour empêcher Nice de mettre en place son jeu d’avant. La touche sera donc une clé du match pour éviter les cocottes niçoises.

 

Yannick Vignette

C’est une équipe qui méritait d’aller en Jean-Prat

Le Manager tient en très haute estime cette équipe de Nice. « Si on ne compte pas les 10 points de pénalité, plus le coup au moral que ça a engendré, je pense qu’ils sont dans les deux premiers. Ça leur a mis un coup d’arrêt psychologique mais malgré tout, ils terminent avec 79 points. C’est une équipe qui méritait d’aller en Jean-Prat. » Cette fois le danger ne viendra pas du large mais aussi du jeu au près et au ras, qu’affectionnent les Niçois. « Je m’attends à un gros, gros, match et ça va être compliqué. Ils sont passés contre une très belle équipe de Lavaur pour qui, j’ai beaucoup de respect. Donc, je m’attends à un match très dur, d’autant qu’on est un petit peu diminué en l’absence de Vial, de Percival et de Loustaunau, qui était en pleine bourre. »

 

Ce premier match sera déterminant pour la suite

Comme Tarbes, le Stade Niçois est invaincu sur ses terres où sont tombés Bourgoin (27-10), Dijon (30-21), Chambéry (26-20), Mâcon (25-15) et seul, des cinq autres qualifiés, Hyères a réussi à partager les points 20-20. Yannick Vignette est conscient que ses joueurs devront s’arracher pour espérer continuer l’aventure. « Il faut vraiment qu’on fasse un gros, gros, match là-bas, si on veut avoir une petite chance de passer. Il va falloir vraiment qu’on livre un énorme combat. Si on n’est pas prêt à livrer un énorme combat, il n’y aura pas match ! Il faudra vraiment qu’on soit bon sur les fondamentaux et notamment sur les ballons portés. Il y aura un énorme défi. On sait très bien, qu’ils usent de cette arme là, même si c’est une équipe assez complète qui fait du jeu. On va essayer de relever ce challenge même si ce sera très compliqué. Ce premier match sera déterminant pour la suite. » Cette équipe niçoise, au paquet d’avant solide et rude, est un peu le clone de son équipe, selon l’entraîneur des avants. « C’est une équipe qui nous ressemble beaucoup sur le fond et sur la forme. On se ressemble au classement, on se ressemble sur le jeu, sur la validation, sur la façon d’appréhender les choses. On a un peu les mêmes ingrédients. » Mais les Niçois, malgré les jeunes écossais, tournent à 29 ans de moyenne d’âge, avec l’ex-Tarbais Chkhaidze, 18 matchs, 15 titularisations, malgré ses 38 ans. Les Tarbais ne devront pas renouveler leurs erreurs et leurs péchés de jeunesse comme à Nantes sous peine de cruelle désillusion. De plus face à une équipe qui ne prend pas beaucoup de cartons, toute infériorité numérique pourrait se payer cash face à la puissance des avants niçois. Sur l’ensemble des deux rencontres, Lavaur a encaissé quatre essais en infériorité numérique.

 

Jean-Charles Laran : On sera les outsiders

Ce n’est pas une surprise, l’entraîneur des trois-quarts partage le même avis. « C’est un autre style d’opposition par rapport à Nantes. Nice, c’est très, très, costaud devant et derrière c’est plus classique Nantes. » Lui aussi est impressionné par les résultats des Niçois. « C’est une très belle équipe et les chiffres parlent d’eux-mêmes. Ils n’ont que cinq défaites sur les matchs de Poules et ils ont battu deux fois Bourgoin ! Si contre Nantes, on pouvait dire qu’on était les favoris, là on sera les outsiders. Aujourd’hui, c’est une équipe qui est considérée comme supérieure à la nôtre, en termes de résultats. » D’autant que Tarbes, dont le point fort est devant, va tomber sur un pack redoutable, véritable rouleau compresseur. « Ils s’appuient beaucoup là-dessus et les deux tiers de leurs essais sont sur des ballons portés après des pénaltouches », confirme Jean-Charles Laran. Les Tarbais sont avertis et c’est à eux de répondre présents physiquement et mentalement sur le terrain dès ce premier match.

 

Retours de Masson et Kazalikashvili, absences de Percival et Vial (suspensions) et de Loustaunau (blessure)

La vidéo a en partie disculpé James Percival qui n’a pris qu’un match de suspension et qui devrait donc participer au match retour à Trélut, tout comme Vial suspendu pour un second carton jaune. Par contre Loustaunau (luxation acromio-claviculaire) est out un mois et ne pourra pas participer aux deux rencontres contre Nice. C’est le jeune Thomas Millet, le demi-de-mêlée N° 1des Espoirs, qui sera sur le banc, pour suppléer Lhusero. « En Espoirs, c’était un leader de Groupe qui maîtrisait bien ses avants. C’est un garçon n’est pas timide et qui a des qualités. Il possède une belle passe des deux côtés et je n’ai aucun souci sur son investissement », assure Jean-Charles Laran, qui est aussi le Directeur du Centre de Formation. L’absence du seconde ligne anglais entraînera la montée d’Armary au côté de Lacroix. La bonne nouvelle, c’est le retour de blessure de Masson qui retrouve un groupe qu’il a quitté sur blessure le 4 mars dernier. Enfin Nicoloz Kazalikashvili, blessé depuis le début de la saison, intègre le groupe pour la première fois en remplacement de Vial.

Le Groupe des 25 tarbais :

Avants : Escur, Kazakalikashvili, Duny, Haurie, Bonnot, Camy, Moyano-Gonzalo, Lacroix, Armary, Ferré, Méron, Masson, Bonnecarrère, Abat, Capberbet

Arrières : Lhusero, Millet, Pees, Frisch, Paulet, Bréthous, Dumestre, Rubio, Berbizier, Esteves

Jean-Jacques Lasserre