POLYCLINIQUE DE L’ORMEAU : COMMUNIQUE DE LA CGPME

La CGPME, Confédération Générale des Petites et Moyennes Entreprises, exprime sa vive inquiétude devant la radicalisation du conflit social à la Polyclinique de l’Ormeau à Tarbes.

Les modalités de la grève et leur exploitation par des personnalités syndicales et politiques nationales créé une situation de blocage dont les conséquences pourraient être dramatiques à tous points de vue. Le blocus de la Clinique, les manifestations provocatrices sous les fenêtres de patients parfois gravement malades ne sont pas l’expression du droit de grève mais une entrave délibérée au droit du travail et à un accès normal aux soins de nos concitoyens.

La CGPME, par la voix de Jacques DUVIN, Président territorial, et de François-Xavier BRUNET, vice-président national de CGPME Services et Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie, appelle le personnel gréviste et ses représentants à la responsabilité en levant la grève et en négociant de façon sereine avec la direction de l’établissement.

Il faut savoir cesser un conflit qui ne doit avoir d’autre but que de faire entendre des revendications et pas de compromettre l’avenir d’une entreprise qui est l’un des plus importants employeurs du département, comme de l’ensemble des cabinets médicaux qui y sont attachés.

La Polyclinique de l’Ormeau, par son offre de soins, tient une place importante dans la carte sanitaire des Hautes-Pyrénées et contribue à l’attractivité de notre territoire.

La CGPME tient à exprimer sa solidarité avec la direction, les praticiens et l’ensemble des personnels non-grévistes qui s’inquiètent pour leur emploi.