TGB : NE PAS GALVAUDER LA COUPE

Le TGB va disputer ce samedi les 16èmes de finale de Coupe de France à Angers une équipe bien classée de LF2.

La Coupe de France est une des portes pour disputer une compétition européenne. L’an passé Arras, mal classé, mais vainqueur de la Coupe de France, s’était qualifié pour l’Euroligue. Une exception, car la finale se jouait habituellement entre les finalistes de LFB, déjà qualifiés européens. Mais le TGB, qui a remporté trois Coupe de France sous la première présidence de Michel Uriarte, ne peut pas négliger cette carte importante. D’autant que les Tarbaises devront faire oublier l’humiliation de l’élimination par la Roche/Yon, une équipe de LF2, qui avait débouché sur une crise interne l’an dernier. Angers occupe actuellement la quatrième place de LF2, (avec 11 victoires pour 4 défaites), derrière Nice, Calais et Leon Tregor. Des défaites concédées à Nice 70-52, à Calais 64-62, à Pau 86-79 et contre Graffenstaden 81-90. Angers vient de remonter en LF2 après un an passé en NF1. C’est une équipe jeune, avec deux doyennes âgées seulement de 27 ans, renforcée par Camille Aubert passée par Basket-Landes, Toulouse, Nantes et Julie Barennes qui vient de Basket-Landes. Au rebond, Cortinovis 1,90 m (ex St-Amand-les-Eaux et Villeneuve d’Ask) est épaulée par des joueuses qui ne dépassent pas les 1,85 m, comme Leclair qui a joué avec les Espoirs du TGB en 2007-08. Les Tarbaises devront surveiller Cortinovis (11,2 points, 7,3 rebonds), Barennes (9,4 points), Aubert (9,2 points), Besson (8,7 points) et Le Marec (8,6 points). Une équipe que connaît bien Cyril Sicsic qui est bien placé pour obtenir les dernières infos auprès de Calais et de Nice.

Jean-Jacques Lasserre