Vielle-Aure à l’heure du Grand Raid des Pyrénées du 21 au 23 Août

mercredi 19 août 2015 par Rédaction

Fin Août comme chaque année depuis 8 ans, la commune de Vielle-Aure accueille le Grand Raid des Pyrénées, trail mythique où l’effort n’a comme récompense que la beauté du parcours et la satisfaction personnelle d’être finisher .

Maryse Beyrié, maire de Vielle Aure, a, en 2008, ouvert grand les portes de la commune pour la première édition du GRP, et chaque année c’est avec le même enthousiasme qu’elle renoue avec cette tradition.

Trois courses sont proposées :

80km et 160Km avec comme point d’orgue la montée au Pic du Midi. Quant au 120Km dénommé le tour des cirques, il passera par ceux d’Estaubé, Troumouse, et Gavarnie.

17 nationalités seront représentées, par les 2700 traileurs inscrits.

Si cette épreuve semble annoncer la fin de saison estivale pour la commune de Vielle-Aure, elle ravive aussi toutes les forces des bénévoles qui par enthousiasme et dévouement permettent le bon déroulement de l’épreuve.

Un service médical fort de 30 personnes (médecins, infirmiers) est présent sur la totalité du circuit,

30 accompagnateurs en montagne assureront pour leur part balisage et débalisage des circuits.

Pas moins de 550 bénévoles se relaieront pendant ces trois jours : Tenue des ravitaillements, contrôle du matériel de sécurité obligatoire, transport divers, préparations des repas, 400 pour la pasta party, 1800 pour le buffet d’après course. Pour tout cela il faut :

4000 l de coca, 4000 l d’eau gazeuse, 6000 l d’eau plate pour les ravitaillements sans eau courante, 16000 bols de soupe, 500 pains de campagne, 2000 paquets de jambon, 600 saucisses sèches, 3300 bananes, 2000 compotes, 800 cakes au fruit, 230 kg de pâtes.
Une telle manifestation nécessite compétence, professionnalisme de la part de l’association Majuschule , organisatrice du GRP, qui peut aussi compter sur l’aide sans faille de Carole et Marie les "infatigables" de l’Office de tourisme de Vielle Aure ; de l’accueil du personnel de la Mairie ; du dévouement du service technique communal.

Michel Bonnet