Inauguration du salon Sup Pyrénées

jeudi 4 mars 2010 par Rédaction

Organisé par la Région Midi-Pyrénées, le Salon Sup Pyrénées est le salon des formations post-bac des départements de l’Ariège, des Hautes-Pyrénées et du Sud de la Haute-Garonne. Il se tient toute la journée ce jeudi 4 mars de 9h à 16h30, au Parc des Expositions de Tarbes. Plus de 2500 lycéens sont attendus.Il a été inauguré ce matin par Martin Malvy, président du conseil régional Midi-Pyrénées, en présence de Josette Durrieu, sénatrice et présidente du conseil général des Hautes-Pyrénées ; Gérard Trémège, maire de Tarbes et président du Grand Tarbes ; Jean-Claude Roch, président de la CCI de Tarbes et des Hautes-Pyrénées ; Claude Miqueu, président du CDDE ; Gilles Craspay, président du Pôle Universitaire Tarbais.

Cette 2ème édition, née du succès de Sup Pyrénées à Tarbes, en 2009, a pour objectif d’informer les lycéens de l’Ariège, des Hautes-Pyrénées et du Sud de la Haute-Garonne sur les formations supérieures qui existent près de chez eux.

L’intervention du président Martin Malvy

Martin Malvy s’est dit satisfait qu’on ait pu jumeler les deux opérations (le salon Sup Pyrenées et la journée des métiers qui a lieu demain). "C’est une mutualisation intéressante des moyens, a-t-il ajouté. Les stands sont installés. Ils vont servir aux uns et aux autres. C’est une bonne chose. Finalement, on est sur le même

thème de la formation et de l’emploi. A peu près 2500 jeunes vont passer aujourd’hui. Je veux remercier les établissements qui participent à cette manifestation et la Chambre de Commerce qui nous accueille. On a maintenant un équilibre entre InfoSup à Toulouse qui accueille environ 40 000 jeunes et ces deux manifestations, l’une à Rodez au nord de Midi-Pyrénées et l’autre à Tarbes sur le sud. Au-delà de l’agglomération toulousaine, on a la chance d’avoir deux pôles universitaires (Tarbes et Rodez) et d’avoir également sur neuf villes de la région des implantations d’enseignement supérieur. Le pourcentage des boursiers sur les sites délocalisés est supérieur à celui des boursiers de l’agglomération toulousaine. Il faut continuer à développer nos sites délocalisés. Je pense qu’on franchira une étape. La Conférence permanente des universités (CPU), pour la première fois, s’est réunie à Toulouse. Dans une discussion que nous avons eue, il en est ressorti que nous partagions le même sentiment sur la nécessité d’avoir un schéma régional de l’enseignement supérieur. Je pense que pour le développement de nos sites, les insérer dans un schéma régional approuvé par le PRES et par les universités toulousaines, ça peut être une bonne chose. Surtout aujourd’hui avec la réforme des universités, le nouveau mode de financement . On va se diriger vers l’élaboration d’un schéma régional de l’enseignement supérieur."