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Denis Fegne, maire d’Ibos, déclare sa candidature pour les élections municipales de 2014

jeudi 12 décembre 2013 par Rédaction

Ce matin, Denis Fegne, maire d’Ibos, a confirmé, lors d’une conférence de presse, qu’il sera candidat aux prochaines élections municipales.

« Je vous avais dit, dès mon élection en Mars 2013 , que mon rôle était à la fois d’assurer la continuité du mandat jusqu’en Mars 2014, puis d’impulser, avec une nouvelle équipe, le projet municipal 2014-2020 que nous présenterons lors de la campagne électorale. Nous y voici... ou presque ! » a-t-il annoncé d’entrée avant d’enchaîner par la déclaration suivante :

Ainsi, les 23 et 30 mars 2014, auront lieu les prochaines élections municipales. Par leur geste citoyen, les Iboscéens vont élire 23 conseillers municipaux pour une durée de 6 ans. Ceci n’est pas nouveau !

 

Mais la nouvelle loi électorale a modifié dans notre commune de presque 3000 habitants le mode de scrutin.

 

Ainsi, le panachage ne sera plus autorisé et il faudra voter pour une liste entière, que l’on ne pourra pas modifier.

 

Nous élirons en même temps les conseillers communautaires qui vont représenter notre commune à la communauté d’agglomération du Grand Tarbes.

 

J’ai donc constitué une nouvelle équipe que je vous présenterai dès le début de l’année prochaine et qui sera candidate au prochain mandat municipal.

 

J’ ai voulu qu’elle soit ouverte, équilibrée, compétente mais aussi qu’elle soit représentative de notre village. Elle sera composée à la fois d’élus expérimentés et de forces nouvelles, ouverte à des sensibilités diverses et à des domaines d’activités variés.

 

Cette nouvelle équipe qui me soutient porte en elle dynamisme, proximité et engagement.

En outre, la parité homme femme est, j’en suis convaincu, un changement qui constitue une opportunité et une chance à la fois pour l’engagement des femmes dans la vie publique locale mais aussi pour la qualité et l’efficacité des actions que nous mettrons en œuvre.

 

Etre un élu local, vous le savez, c’est s’engager au quotidien, dans sa commune, dans son village, de façon honnête et désintéressée, au service de l’intérêt général.

 

En ce qui me concerne, je suis d’abord et avant tout un élu de proximité. Agé de 52 ans, je suis marié et père de deux enfants qui ont grandi à Ibos. C’est mon engagement dans les associations, dans la vie du village qui m’ont permis de me retrouver dans une équipe municipale au côté de Daniel FROSSARD.

Elu en 2008, j’ai exercé les fonctions de maire adjoint chargé de la culture, des associations, du sport, et des animations. En 2013, maire depuis 24 ans, Daniel FROSSARD a souhaité passer le relais et j’ai été élu maire par le conseil municipal. 

Sur le plan politique, je suis membre du parti socialiste et je souscris aux valeurs de solidarité, de justice sociale, d’humanisme, de laïcité, au-delà des clivages politiques.

Car je suis avant tout, je le répète, un élu de proximité attaché au travail en équipe, attaché à l’engagement quotidien au service des habitants, et ouvert au dialogue avec les différentes sensibilités qui composent notre territoire.

Je mesure la responsabilité qui m’incombe en me présentant devant les Iboscéens. Sachez que je suis motivé pour continuer à œuvrer pour le développement harmonieux de notre village.

Nous aurons bien sûr l’occasion de revenir sur le bilan du mandat qui s’achève et sur les propositions concrètes de notre programme dans le cadre de la campagne électorale.

Je souhaite néanmoins vous dire quelques mots sur le bilan du mandat.

Je crois qu’il est des plus satisfaisants. Le programme sur lequel nous nous étions engagés en 2008 a été tenu qu’il s’agisse des constructions nouvelles, de l’aménagement et de la rénovation des bâtiments publics, des travaux de voirie et de sécurité. Nous avons aussi et surtout impulsé une nouvelle dynamique au niveau de ce que l’on appelle le « vivre ensemble » dans le domaine des animations, de la culture, de l’éducation, du lien social.

 

Avant de préparer le nouveau projet 2014-2020, j’ai assuré la continuité de l’action municipale avec l’équipe actuelle que je veux ici sincèrement remercier pour tout le travail accompli depuis 2008 et qui se poursuivra jusqu’à la fin du mandat en Mars 2014. 

 

Pour mémoire, en cette année 2013, nous avons lancé des travaux et des projets, que ce soit au niveau des investissements (aménagement de la rue Charles MANCIET au POUEY, la halle, l’ancienne école maternelle, divers travaux de rénovation de bâtiments communaux, de réhabilitation du patrimoine dont la collégiale, les travaux de voirie, les chemins blancs, etc..), de la mise en œuvre du nouveau PLU, de l’aménagement des rythmes scolaires et du projet éducatif territorial en concertation avec l’ensemble des acteurs locaux, de la finalisation du plan communal de sauvegarde, du soutien aux associations , des animations, du renouvellement de l’appel d’offre pour la politique enfance jeunesse, etc.

Le projet

 

Le projet municipal sur lequel nous travaillons d’ores et déjà s’inscrit à la fois dans la continuité et l’héritage des équipes précédentes, mais impulse un certain nombres d’actions nouvelles qui visent à améliorer encore la vie quotidienne des Iboscéens.

 

L’ information ,la communication, la participation des habitants seront particulièrement privilégiés ainsi que le développement durable et les économies d’énergie.

 

Ma vision de l’aménagement de notre commune est basée sur un développement à la fois dynamique et raisonné, en privilégiant le cadre de vie, le bien-être et la qualité de vie mais aussi en valorisant notre précieux patrimoine.

 

Je veux, avec l’aide du Grand Tarbes, poursuivre la valorisation et le développement du tissu économique local et donc de l’emploi, en aidant et en attirant les entreprises sur notre commune.

 

Je pense utile de donner ici ma position par rapport à la communauté d’agglomération.

Depuis la loi territoriale du 16 Décembre 2010, elle constitue pour toutes les communes une obligation.

 

Je considère que le maire doit être le premier avocat de sa commune dans l’intercommunalité.

Historiquement, les Iboscéens ont toujours été indépendants et ont su tirer parti de notre position de ville frontière et de la dimension spatiale importante de notre territoire.

Je souhaite que notre positionnement dans l’intercommunalité prenne en compte cet élément de contexte local tout en recherchant l’intérêt communautaire dans le respect de chacun.

Ce n’est plus à démontrer, l’intercommunalité est pour Ibos, une plus value considérable en matière de développement économique, de transports, d’équipement culturels et sportifs.

Dans la communauté d’agglomération, nous avons chacun d’entre nous des positions et des engagements politiques ; vous connaissez les miens.

Nous avons travaillé, hier sous la présidence de Jean Glavany, aujourd’hui sous celle de Gérard Trémège, en ayant toujours en tête de faire passer l’intérêt de nos concitoyens dans la communauté d’agglomération avant les clivages et les calculs politiciens. 

IBOS a aujourd’hui une place importante dans la communauté d’agglomération du Grand Tarbes, et je poursuivrai le travail engagé depuis des années par Daniel Frossard et Claude Bonnemaison avec le même état d’esprit que je résumerai en une formule « l’indépendance dans l’interdépendance ».

 

Mon rôle est aussi, et je reviens à notre village, de protéger, de garantir la sécurité des habitants et la solidarité envers les personnes les plus vulnérables depuis l’enfance jusqu’ au grand âge.

 

Dans la tradition des maires d’IBOS qui m’ont précédé, je poursuivrai une politique budgétaire rigoureuse et dynamique avec le souci constant de maîtriser les dépenses de la commune, de maintenir une fiscalité raisonnable et un taux d’endettement supportable.

 

Enfin, j’ai la volonté de continuer à fédérer et à rassembler autour de la mairie l’ensemble des acteurs (associations, institutions, bénévoles) qui souhaitent œuvrer pour améliorer encore le « vivre ensemble », l’éducation de nos enfants, mais aussi la vie culturelle, sportive et festive de notre commune.

Préparer un nouveau projet pour IBOS

 

Les éléments de notre projet communal devront bien sûr s’articuler avec les projets et les éléments de contexte « supra communaux » que sont : le projet pour le Grand Tarbes, le schéma de cohérence et d’orientation territoriale Tarbes Lourdes, mais aussi le nouveau projet de territoire validé il y a quelques jours par le conseil général.

 

Nous devrons aussi nous adapter à la conjoncture économique et politique actuelle.

Je vous rappelle que le projet de loi de décentralisation « acte 3 » invite à « rechercher une organisation des administrations territoriales plus rationnelle, plus lisible et plus efficace ».

S’agissant du secteur communal, « les mutualisations doivent se poursuivre dans le but de dégager des économies d’échelle, à qualité de service public constant ».

 

Voilà le programme qui nous attend dans les années à venir sur le plan budgétaire, mais nous devons avant tout rester ce que nous sommes, c’est à dire des élus de proximité par excellence, qui défendent l’intérêt général de leurs administrés.

 

Il faut enfin tenir compte de la crise économique qui induit une inquiétude croissante chez nos concitoyens, un besoin d’écoute et de protection. Nous avons donc à la fois la nécessité de gérer de façon toujours plus rigoureuse les dépenses, mais aussi une responsabilité accrue quant à la bonne tenue des services rendus au public.

 

Pour terminer, je souhaite encore une fois remercier l’ensemble de l’équipe municipale pour le travail réalisé pendant 6 ans, l’ensemble des services de la mairie et tous les acteurs bénévoles, associatifs, institutionnels, qui ont œuvré avec efficacité au cours de ce mandat.

 

Les principaux éléments qui vont structurer le projet municipal sont les suivants :

 

Poursuivre et consolider la politique éducative et de solidarité au centre de notre action municipale : il s’agit de rester dans un cercle vertueux qui permette le développement des moyens éducatifs, la structuration des associations ( loisirs, sports, culture, etc..), la mise à disposition des équipements, des salles, des lieux de rencontres, etc.. tout cela augmente l’attractivité de notre territoire.

 

Construire l’avenir avec les enfants et les jeunes, favoriser le vivre ensemble, l’intergénérationnel, la citoyenneté au sein de la communauté villageoise.

 

Inscrire le développement durable comme principe d’action : tous les projets doivent être pensés dans le souci d’améliorer la qualité de vie des générations actuelles et de préserver celles des générations futures, de préserver le patrimoine, de réaliser des économies d’énergies, de favoriser les circuits courts, etc.

 

Consolider les infrastructures existantes, mettre aux normes, améliorer l’accessibilité, renforcer les services de proximité.

 

Renforcer le dynamisme en matière de développement économique : il s’agit de favoriser l’implantation et l’expansion des entreprises qui génèrent les emplois mais aussi les ressources fiscales nécessaires à l’investissement en fonction des besoins.

 

Ces éléments du projet communal doivent s’articuler avec les projets et les éléments de contexte « supra communaux » que sont le projet pour le Grand Tarbes, le SCOT bien sûr, mais aussi le projet pour le territoire défini par le conseil général.

L’intercommunalité

 

En ce qui concerne l’intercommunalité, depuis la loi territoriale du 16 Décembre 2010, elle constitue pour toutes les communes une obligation.

 

Je considère que le maire doit être le premier avocat de la commune dans l’intercommunalité.

Historiquement, les Iboscéens ont toujours été indépendants, montrant de tous temps une grande constance et habileté pour le développement de leur village. Ils ont parfois aussi montré une grande fermeté. IBOS a toujours su tirer parti de sa position de ville frontière et de sa dimension spatiale importante.

 

Je souhaite que notre positionnement dans l’intercommunalité prenne en compte cet élément de contexte local tout en recherchant l’intérêt communautaire dans le respect de chacun., l’indépendance dans l’interdépendance.

 

L’intercommunalité est une plus value considérable pour notre commune en matière de développement économique, de transports, d’équipement culturels et sportifs, etc..

Chacun a ses positions et ses engagements politiques. Nous avons travaillé, hier avec Jean Glavany, aujourd’hui avec Gérard Trémège, en ayant toujours en tête de faire passer l’intérêt de nos concitoyens dans la communauté d’agglomération avant les clivages et les calculs politiciens.

 

IBOS a aujourd’hui une place importante dans la communauté d’agglomération du Grand Tarbes, et je poursuivrai le travail engagé depuis des années par Daniel Frossard et Claude Bonnemaison avec le même état d’esprit que je résumerai en une formule « l’indépendance dans l’interdépendance ».

 

Eléments de contexte

 

 Ces éléments du projet communal doivent s’articuler avec les projets et les éléments de contexte « supra communaux » que sont le projet pour le Grand Tarbes, le SCOT bien sûr, mais aussi le projet pour le territoire défini par le conseil général.

 

Le projet de loi de décentralisation « acte 3 » invite à « rechercher une organisation des administrations territoriales plus rationnelle, plus lisible et plus efficace ».

 

S’agissant du secteur communal, « les mutualisations doivent se poursuivre dans le but de dégager des économies d’échelle, à qualité de service public constant ».

 

Voilà le programme qui nous attend dans les années à venir sur le plan budgétaire, mais nous devons avant tout rester ce que nous sommes, c’est à dire des élus de proximité par excellence, qui défendent l’intérêt général de leurs administrés.

 

Il faut enfin tenir compte de la crise économique qui induit une inquiétude croissante chez nos concitoyens, un besoin d’écoute et de protection. Nous avons donc à la fois la nécessité de gérer de façon toujours plus rigoureuse les dépenses, mais aussi une responsabilité accrue quant à la bonne tenue des services rendus au public.