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La Région Midi-Pyrénées a lancé en 2012 son dispositif Croissance PME. Le but ? Aider les PME de Midi-Pyrénées à fort potentiel à grandir et atteindre une taille critique pour s’imposer dans la mondialisation.
Les élus régionaux, sous la présidence de Martin Malvy, ont voté lors de la dernière Commission permanente de juillet, une aide de près de 350 000 € pour financer l’intégration de nouvelles compétences stratégiques dans ces entreprises par la formation de leurs salariés. (...)
Cette loi est la première qui aborde l’égalité entre les femmes et les hommes dans toutes ses dimensions en s’intéressant aux inégalités à différents niveaux : égalité professionnelle, lutte contre la précarité spécifique des femmes, protection des femmes contre les violences, image des femmes dans les médias, parité en politique et dans les responsabilités sociales et professionnelles.(...)
100 000 €. C’est le montant de l’enveloppe que les élus régionaux, sous la présidence de Martin Malvy, ont voté lors de la dernière Commission permanente, pour soutenir le projet porté par le cluster Digital Place dont la mission principale est de structurer les acteurs de la filière numérique en Midi-Pyrénées.(...)
Les employeurs publics de moins de 11 salariés pourront bénéficier, dès la rentrée prochaine, de la prime à l’apprentissage de Midi-Pyrénées de 1 000 €. C’est ce que les élus régionaux, sur proposition du président Martin Malvy, ont approuvé lors de la dernière commission permanente du 9 juillet 2015.
Au titre de l’année 2014, environ 300 contrats d’apprentissage ont été signés auprès d’un employeur public, mais très peu dans des structures de moins de 11 salariés alors que le potentiel d’emplois y est important et varié.
Avec cette nouvelle aide, la Région entend ainsi inciter ces employeurs, notamment les petites communes, à recruter des apprentis.
En 2015, Midi-Pyrénées consacre un budget de 60 M€ à l’apprentissage. La Région soutient ainsi ses 17 371 apprentis, et ses 64 CFA qui proposent une offre large avec plus de 760 formations préparant à 360 diplômes différents, du CAP au niveau Bac +5. Plus de 70% des apprentis de Midi-Pyrénées sont par ailleurs formés dans des CFA rénovés grâce à une politique forte en faveur de l’amélioration de l’appareil de formation.
Le Contrat de Plan Etat-Région 2015-2020 (CPER) constitue le principal instrument contractuel au service du développement régional pour préparer l’avenir et porter les grands équipements dont la région a besoin.
Sur le volet enseignement supérieur et recherche, Midi-Pyrénées bénéficie de la 1ère dotation française en intensité par habitant avec une enveloppe globale de 264,3 M€ et une centaine de projets inscrits : 51 opérations immobilières, 29 pour des équipements scientifiques et 18 en faveur du logement étudiant. Un tiers du programme d’investissement sera consacré aux sites universitaires de proximité, hors de l’agglomération toulousaine.
Les élus régionaux, sur proposition du président Martin Malvy, ont voté lors de la dernière commission permanente du 9 Juillet, une aide de près de 78 000€ de l’IUT Génie Civil de Tarbes (65) pour les équipements. Cette première aide permettra l’accueil dans de bonnes conditions des étudiants à la rentrée 2015. Dans le cadre de CPER 2015-2020, 17,3 M€ sont prévus pour moderniser l’IUT de Tarbes et soutenir l’équipe pédagogique et scientifique avec notamment un service de l’Observatoire Midi-Pyrénées, télescope SPIP, projet porté par l’Université Paul Sabatier.
Les élus ont également validé les conventions d’application départementales du CPER de l’Ariège et de la Haute-Garonne.
Prenant connaissance de la feuille de route pour les « trains d’équilibre du territoire » (TET) dévoilée par le gouvernement suite aux conclusions du rapport Duron, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, a notamment déclaré :
« Certains pensaient qu’après la présentation du rapport Duron sur les trains d’équilibre du territoire le Gouvernement allait trancher. Alain Vidalies a ouvert la porte au dialogue. Il a bien fait. Le sujet est délicat. Je relève trois points positifs dans l’immédiat :
la désignation d’un préfet, François Philizot, missionné pour être l’interlocuteur des Régions sur l’évolution de l’offre et la gouvernance.
l’annonce d’un effort important d’investissement en faveur du renouvellement du matériel roulant, ce que nous demandions depuis longtemps.
la confirmation des trains de nuit Paris-Rodez et Paris-Latour de Carol dans le communiqué du ministère.
Parmi les sujets délicats, une interrogation sur les incidences de la LGV sur les temps de parcours du Paris-Tarbes-Hendaye, a ajouté le président de la Région Midi-Pyrénées. Aujourd’hui, Tarbes est à 6h de Paris. Avec la LGV Tours-Bordeaux en 2017, il sera à 5h avec un train de jour. Le gain apporté par la LGV en 2017 n’offrira pas un service de jour justifiant la suppression d’une offre de nuit, comme le suggère le rapport Duron. Par ailleurs, la mise en service de la LGV Bordeaux-Tours ne se traduira par aucune augmentation du nombre de trains pour le Béarn et la Bigorre.
Le rapport Duron soulevait d’autres préoccupations, a conclu Martin Malvy, qui seront les premières à être évoquées avec le préfet Philizot, qui a été préfet du Tarn et qui connaît donc bien les enjeux liés au désenclavement de Midi-Pyrénées ».
A l’occasion de la visite d’une délégation andorrane en Midi-Pyrénées, la Région accueillait ce matin une cinquantaine d’entreprises et d’acteurs économiques de Midi-Pyrénées et d’Andorre. Objectif de cette journée : engager un processus de rapprochement des deux territoires et donner un nouveau cadre à leur coopération dont les liens historiques, géographies et culturels sont forts. (...)