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Charleville-Mézières-Tarbes (suite)

mardi 10 avril 2018 par Rédaction

Indignation partagée

Notre indignation envers la réaction de François Gomez à notre encontre est encore plus grande à la lecture du compte rendu du match fait par un correspondant ardennais, pour le compte de la presse bigourdane. Jamais, par respect pour l’image d’un club, des joueurs et des entraîneurs, nous n’avons employé de tels qualificatifs qui, pour le compte, peuvent énerver. Nous attendons impatiemment la réaction du coach tarbais après la lecture de cet article, s’il est encore disponible sur le site TGB officiel facebook et n’est pas effacé comme le nôtre. Nos colonnes restent ouvertes exceptionnellement à François Gomez, s’il désire réagir.

’’Meilleurs’’ extraits

Titre : Le TGB étouffé

Face à des Flammes Carolos toujours incandescentes à l’Arena et motivées à l’idée de garder une deuxième place synonyme de qualification directe en Euroleague, Tarbes-Gespe-Bigorre a été laminé comme jamais cette saison (92-50).

Portées par l’omniprésente Dos Santos bien épaulée par Bouderra et Lewis, les Carolos s’ébrouaient très vite (9-0), obligeant François Gomez à un temps mort pour rappeler ses filles à l’ordre.

Mais cela n’entravait pas le cavalier seul des Ardennaises (26-7), seulement interrompu par des spasmes de Plouffe et Diallo (28-12).

Et Tarbes, au terme d’une séquence à 14-0, était littéralement emporté par le brio offensif et le béton défensif des locales (42-12, 14e).

Le coach tarbais était déconfit le long de la touche

Bouderra accentuait le calvaire des visiteuses (48-14), lesquelles pointaient à la pause avec un déficit de… 35 « pions » : 51-16. Du jamais vu cette saison !

50 points d’écart !

Dans le second acte, l’agonie continuait sous les coups de Boudera, Loyd et Bérézhynska (60-16). Plouffe, Diallo, Puye et Gaye se contentaient de réactions sporadiques (62-23, 72-29).

Et la punition était au fil des minutes de plus en plus salée pour les Pyrénéennes qui buvaient le calice jusqu’à la lie (83-33) malgré les efforts de Suarez, Diallo et Björklund pour tenter d’exister (85-44)....

Pascal Remy