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Point-presse du quatuor de l’Entente Républicaine sur le canton 2

vendredi 13 mars 2015 par Rédaction

En cette presque fin de campagne, le binôme de l’Entente Républicaine sur le canton 2, à savoir Gilles Craspay et Andrée Doubrère, a tenu un point-presse afin d’apporter des compléments d’informations et des précisions aux électeurs. Cette rencontre fut d’abord l’occasion pour les candidats de présenter de façon plus détaillée leurs remplaçants :

-Elisabeth Brunet, 29 ans, pédicure podologue, a le statut de sportif athlète et est licenciée à l’UAT Stado depuis 14 ans. Cette championne de haut niveau en marche athlétique a précisé : « J’ai rejoint l’équipe de Gérard Trémège aux dernières élections municipales et pour ces départementales je suis ravie d’être la remplaçante d’Andrée… Je réside à Tarbes depuis plus de quatre ans ; c’est une ville qui me plait énormément, comme tout notre département d’ailleurs. Il y a ici des valeurs humaines qui sont les miennes telles le sport, l’environnement, les traditions… »

Michel Garnier  : « Je suis né à Tarbes il y a 54 ans de parents tarbais et je n’ai jamais voulu quitter ma ville ! J’ai débuté en 1981 dans des radios locales, j’ai été journaliste pendant 25 ans et j’ai créé mon entreprise multimédia que j’ai vendue en 2004. Durant cette période j’ai été président de l’association des commerçants tarbais. Gérard Trémège m’a ensuite demandé de travailler avec lui et j’ai été directeur de la communication puis directeur de cabinet en 2008, avant de prendre la direction de l’Office de Tourisme de Tarbes et devenir président du comité des fêtes .Ce sont des rencontres humaines qui m’ont poussé à aller vers ceux qui ont envie de faire vivre ma ville et mon département ; je veux que ma ville progresse et évolue au sein de notre département.

Après ces présentations Gilles Craspay a pris la parole :

 « Dans les domaines de compétences du futur conseil départemental, il y a un domaine qui sera préservé, c’est l’action sociale : c’est un domaine particulièrement important pour tous nos concitoyens. Pour les autres compétences quelques pistes se dessinent : le conseil départemental conservera la gestion des collèges, pas leur fonctionnement mais la bonne santé des structures ! A ce sujet nous avons un projet de point de restauration très important à mener en commun avec le conseil départemental à savoir une restauration commune des collégiens du collège Massey et des élèves de l’école Théophile Gautier. Quant à la gestion des routes avec une certaine emprise sur l’activité touristique, elle restera sans doute dans le domaine de compétence du conseil.

Enfin il y a un engagement que je souhaite prendre, celui d’être très vigilant sur la fiscalité : on ne peut pas s’en servir comme levier pour compenser les dotations de l’Etat !

 

Et Andrée Doubrère de poursuivre en traitant trois points qui lui tiennent à cœur :

-L’hôpital : J’y ai travaillé quelque quarante ans… Depuis quelques jours on entend grogner l’ensemble des hôpitaux : la ministre dit qu’il faut économiser et que 66 000 emplois devraient y être supprimés : comment le personnel va t-il pouvoir continuer à travailler dans de bonnes conditions ?

-L’emploi  : Nous avons rencontré des jeunes sans emploi et aussi des seniors qui perdent leur travail et qui le vivent mal : il faut essayer de les accompagner et tenter de sauver nos entreprises locales.

-La vie associative : le sport dans les quartiers est un véritable vecteur de la vie sociale de même d’ailleurs que la culture qu’il faut y amener aussi

 

 

 

 Mise au point : « un problème d’ambiance…. »

 

Gilles Craspay s’est lancé le premier : « La campagne tire sur sa fin et je suis très déçu. Aux dernières cantonales auxquelles je me suis présenté, j’avais en face de moi Jean-Pierre Dubarry : je me dois de rendre hommage à son fair-play et la correction dont il a fait preuve pendant toute la campagne. Je ne peux pas en dire de même des gens qui lui succèdent et qui cherchent à accumuler des pièces pour faire un recours contre nous après les élections… !.Ils nous considèrent comme des adversaires ! Et je suis déçu aussi par Bernard Bessou qui nous accuse de mauvaise foi : quand on reproche quelque chose aux autres c’est qu’on connait bien de quoi on parle et qu’on l’a fait soi même… On ne veut pas de leçon de ce monsieur qui il y a quelques années s’est empressé à l’époque de lâcher Mr Erraçarret pour prendre une carte au PS quand a il senti le vent tourner vers le PS….

 

Puis ce fut au tour d’Andrée Doubrère de s’exprimer : « Moi Je souhaite rassurer Monsieur Arberet : de 2008 à 2014 j’ai été présidente du GIP-CUCS et depuis 2014 je suis vice présidente du GIP-CUCS : il a tout loisir de vérifier ! Ce que j’en retire c’est la reconnaissance des diverses associations avec lesquelles j’ai travaillé pendant toute une mandature et avec lesquelles je continue d’œuvrer »

 

 Josiane Perez

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