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Semaine nationale de la création transmission d’entreprises artisanales Du 14 au 21 novembre 2014

vendredi 14 novembre 2014 par Rédaction

Communiqué de presse : Créez ou transmettez votre entreprise, c’est possible dans l’artisanat, c’est possible avec les CMA !

Être accompagné par une CMA : un gage de pérennité

Des cursus personnalisés également pour la formation et le financement
• Les CMA forment les chefs d’entreprises artisanales de demain avec de nouveaux cursus de niveau supérieur (URMA)
• La Siagi société de garantie de l’artisanat, n°1 de la garantie transmission-reprise

Les chiffres de l’artisanat en France

Les partenaires de la semaine nationale de la création reprise

Les chiffres de la création transmission dans l’artisanat
Chaque année, un tiers environ des créations-reprises d’entreprises se font dans le cadre d’activités artisanales. En alliant savoir-faire traditionnel et technologie de pointe,
l’artisanat a su construire les conditions lui permettant de devenir la « Première entreprise de France ». On estime à 40 000 entreprises les entreprises viables et reprenables chaque année en France !
En raison du vieillissement démographique, tous les métiers de l’artisanat sont porteurs et le seront durablement : un tiers des chefs d’entreprise ont plus de 50 ans et sont susceptibles de céder leur entreprise dans les dix à vingt ans qui viennent. Ainsi, 300 000 entreprises artisanales seront à transmettre dans les dix années à venir (source : APCMA 2014).
Si la reprise d’une entreprise artisanale est plus lourde en terme de financement, elle offre de plus fortes probabilités de réussite, jusque 95 % à 100 % selon les métiers, contre 60 % pour une création.
Les profils des créateurs ou repreneurs d’entreprise artisanale se sont diversifiés : la
transmission familiale n’est plus le modèle prépondérant. Aujourd’hui, créer son entreprise est devenu l’aspiration de nombreux salariés, qu’ils soient menacés par le chômage ou qu’ils aspirent à réaliser un projet en devenant leur propre patron.

Communiqué de presse

Créez ou transmettez votre entreprise, c’est possible dans l’artisanat, c’est possible avec les CMA !

En quelques années, les chambres de métiers et de l’artisanat sont devenues le premier réseau d’appui aux créateurs et repreneurs d’entreprises artisanales, particulièrement reconnu pour son efficacité. Chaque année, ce sont environ 100 000 Français qui créent ou reprennent une entreprise artisanale. Accompagnés par les CMA, 76 % d’entre eux franchiront avec succès l’étape des trois années.
Pour leur faire connaître les nombreuses opportunités de l’artisanat, la Semaine Nationale de Création Transmission d’entreprises artisanales (SNCT) est organisée partout en France du 14 au 21 novembre. Les forums et rencontres serviront à informer les futurs créateurs et à mettre en relation des cédants avec des candidats à la reprise.

L’accompagnement « sur mesure » des créateurs et repreneurs, la marque des CMA
En partenariat avec les organisations professionnelles qui regroupent la grande famille de 250 métiers de l’artisanat, les CMA proposent une offre de services adaptée à tous les publics. Pendant la SNCT, chaque candidat à la création d’entreprise recevra la meilleure information sur l’ensemble des conditions nécessaires à la création d’une entreprise. Le candidat à la reprise aura la connaissance dans chaque CMA locale des entreprises artisanales à reprendre. Les chefs d’entreprise seront incités à préparer à partir d’un certain âge leur transmission.
Dans la plupart des CMA, tous les porteurs de projets pourront bénéficier de conseils complémentaires lors de tables rondes auxquelles vont participer des partenaires comme les avocats, experts comptables, banquiers, assureurs, organismes sociaux.

Des cursus personnalisés également pour la formation et le financement
Si vous avez besoin de formation, les universités régionales des métiers (URMA) proposent des cursus rapides, sur mesure, adaptés à votre parcours (www.e-urma.fr) ;
Pour le financement de votre projet, les CMA pourront vous orienter vers la SIAGI, société de cautionnement mutuel de l’artisanat et des activités de proximité, qui organise l’accès au crédit de ceux qui créent, reprennent ou développent une entreprise artisanale.

Rejoignez la Première entreprise de France !

http://creation-transmission.artisanat.fr

Être accompagné par une CMA : un gage de pérennité

La création et la transmission des entreprises artisanales constituent le cœur de métier du réseau des CMA et leur expertise est très largement reconnue. L’Assemblée permanente des chambres de métiers et de l’artisanat (APCMA) et les CMA sont particulièrement attentives à ces questions et développent de nombreux dispositifs de soutien aux chefs d’entreprise concernés.
Les CMA développent, dans une relation de proximité, une offre de services adaptée aux besoins spécifiques de chaque type de publics, qu’il soit apprenti, créateur, repreneur, chef d’entreprise, salarié, demandeur d’emploi, personne à la recherche d’une orientation professionnelle ou encore cédant d’entreprise artisanale. Cette offre couvre toutes les étapes de la vie de l’entreprise, de la création/reprise à la transmission, en passant par toutes les phases de développement, ainsi que par la formation de ses actifs. Attachées à renforcer la qualité de leurs services, les chambres de métiers et de l’artisanat se sont engagées à garantir, quel que soit leur lieu d’implantation, un ensemble de prestations harmonisées sur l’ensemble du territoire.

Le taux de pérennité à trois ans des entreprises accompagnées par les CMA est de 76 %.

Les porteurs de projets accueillis chaque année dans plus de 372 points d’accueil des chambres de métiers et de l’artisanat bénéficient d’un véritable parcours balisé :
• une évaluation du projet pour évaluer ses forces et ses faiblesses : les CMA accompagnent les porteurs de projets pour confirmer la localisation de l’entreprise, en trouver le financement, les informer sur l’EIRL. Les CMA instruisent également les dossiers de demande d’aides à la création/reprise d’entreprise ACCRE et NACRE ;
• un stage préalable à l’installation (SPI) : pour le futur artisan, le SPI couvre tous les domaines tels que l’étude de marchés, le choix du statut juridique de l’entreprise, la gestion des ressources humaines ou la comptabilité… ;
• un accompagnement personnalisé : les CMA délivrent un apport d’informations spécialisées fournies par les professionnels avec lesquels elles ont scellé des partenariats : avocats, notaires, experts comptables, banquiers, assureurs, organismes sociaux. Elles sensibilisent également les futurs artisans aux enjeux de l’innovation, du développement durable, de l’exportation et ce, dès le stade de la création ;
• l’inscription au Centre de formalité des entreprises (CFE) : il a pour rôle l’assistance aux formalités d’immatriculation. Le CFE permet d’accomplir en un seul lieu les formalités préalables au démarrage de l’activité. L’aspect administratif est allégé car dématérialisé et sécurisé. Dans toutes les CMA, les CFE procèdent à l’immatriculation, au changement d’activité ou à la radiation.
Une autre activité importante des CMA est l’accompagnement post création : les créateurs bénéficient également de l’expertise des agents économiques pendant les phases de croissance de l’entreprise. Les CMA sont engagée en faveur d’un véritable accompagnement pour répondre à l’ensemble des besoins financiers, juridiques, fiscaux et sociaux des chefs d’entreprise.

Toutes ces étapes sont essentielles pour que la création d’entreprise passe de la phase de projet à celle de réussite. En effet, l’essentiel pour les CMA est de faire murir le projet professionnel de l’artisan et de réunir le maximum d’éléments pour que cette installation conduise à une entreprise viable et pérenne.

Des cursus personnalisés également pour la formation (URMA) et le financement (SIAGI)

En alliant savoir-faire traditionnel et technologies de pointe, l’artisanat a su construire les conditions lui permettant de devenir la « Première entreprise de France ». L’artisanat compte 250 métiers et près de 510 activités différentes réparties en quatre grands secteurs : bâtiment, alimentation, production et services.
S’ils ne sont pas épargnés par la crise économique, les artisans font preuve d’une réelle adaptation et sont les créateurs de produis destinés à de nouveaux marchés.

Au-delà des métiers classiques traditionnels, il existe une multitude de métiers en phase avec l’innovation qui appartiennent au secteur de l’artisanat. De nouveaux métiers se développent avec l’apparition de matériaux innovants, des moyens de communication modernes et des technologies de pointe. Les métiers liés à l’éco-construction et à l’isolation, les technologies propres, le retraitement des déchets sont en plein essor.
Tous les métiers de l’artisanat sont porteurs et le seront durablement du fait du nombre d’entreprises qui sont à reprendre et ce, dans tous les secteurs.
Papy-boom oblige, au-delà de l’opportunité de créer une entreprise artisanale, la reprise d’une entreprise artisanale représente plus que jamais une possibilité réelle pour rebondir dans la vie professionnelle. De nombreuses entreprises artisanales disparaissent faute d’avoir trouvé un repreneur ou en raison d’un problème lié à une transmission.

Les CMA forment les chefs d’entreprises artisanales de demain avec de nouveaux cursus de niveau supérieur (URMA)

Les CMA accueillent dans leur CFA 100 000 jeunes chaque année et forment de plus en plus les « décrocheurs » d’études générales et des adultes souhaitant apprendre un métier de l’artisanat. En période de crise, maintenir un niveau élevé de formation est indispensable pour préparer les emplois de demain et donner des perspectives d’avenir aux jeunes : les entreprises artisanales emploient des personnes qualifiées et un geste professionnel met plusieurs années à s’acquérir !

Pour former les artisans de demain et permettre à tous ceux qui ont un projet dans l’artisanat de trouver le parcours de formation qui leur convient, les Chambres de métiers et de l’artisanat (CMA) ont créé dans chaque région une Université Régionale des Métiers et de l’artisanat (URMA). Ces « Universités » d’un genre nouveau sont au service des artisans et futurs artisans. Avec ses partenaires (IUT, CNAM, Universités…), l’URMA propose à tous des formations de tous niveaux. En facilitant les passerelles entre les diplômes et les titres, chacun peut se former, évoluer, développer ses compétences, construire et adapter sa trajectoire professionnelle.
Si le parcours classique, apprenti, salarié puis chef d’une entreprise artisanale, reste prépondérant dans l’artisanat, les diplômés de l’enseignement supérieur sont de plus en plus nombreux à investir le secteur.
L’enjeu économique est crucial, notamment en termes d’emploi et d’aménagement du territoire, notamment dans le milieu rural, par le maintien d’activités de proximité.
C’est face à ces enjeux que l’APCMA et les CMA ont mis en place les URMA pour accueillir et former les nouveaux talents vers les métiers de l’artisanat.

WWW.E-URMA.FR, LE PORTAIL INTERACTIF DU RESEAU NATIONAL DES URMA

Le portail www.e-urma.fr présente et géolocalise toute l’offre de formation diplômante, certifiante ou modulaire, par apprentissage, en formation continue ou en Validation des acquis de l’expérience (VAE) des URMA et de leurs partenaires. Qu’ils soient jeunes à la recherche d’un contrat d’apprentissage, salariés en quête d’une reconversion, diplômés du supérieur désireux de se réorienter ou artisans à la recherche de nouvelles compétences, tous pourront s’informer sur les métiers de l’artisanat, ses filières de formation, titres et diplômes par secteur de l’artisanat, par métier ou par niveaux.

S’informer sur les métiers de l’artisanat, les offres de formation correspondantes et les localiser c’est désormais très simple sur www.e-urma.fr !

La Siagi société de garantie de l’artisanat, n°1 de la garantie transmission-reprise

La SIAGI, créée par les chambres de métiers et de l’artisanat, est la seule société de caution mutuelle indépendante, interprofessionnelle et pluri-bancaire. Sa mission est double : organiser l’accès au crédit des petites entreprises et favoriser la pérennité de ces entreprises par la mise à disposition de ressources financières stables. La SIAGI s’est focalisée sur le segment de la reprise-cession-transmission dès les années 90 : ce segment est aujourd’hui l’activité principale de la SIAGI avec près de 70 % des opérations. Elle est présente aux côtés des deux parties, en garantissant la continuité du financement du cédant et en préparant le volet financement en amont de la sollicitation du secteur bancaire.

Les entreprises artisanales qui ne sont pas des entreprises capitalistiques, sont fortement dépendantes du système bancaire pour leur financement. Elles subissent actuellement une réelle difficulté d’accès au crédit. Plus la question du financement est résolue en amont de la transaction, mieux elle sera pensée. C’est pourquoi, la SIAGI a mis en place un process visant à consolider, en amont de la décision d’octroi de crédit, les plans de financement des entreprises : cette offre de pré-garantie de la SIAGI, appelée « pack prêt à financer », associe les chambres de métiers et de l’artisanat ; elle permet à l’artisan de présenter à son banquier un dossier « prévalidé » sur les aspects économiques et financiers, et de maximiser ainsi ses chances d’obtenir son crédit. Ce process permet une sécurisation du prêteur et de l’emprunteur, et réduit les risques de défaut.

Dans le cadre des opérations de transmission-reprise, cette offre de pré-garantie est particulièrement opportune. En effet, près d’un dirigeant sur deux n’est pas préparé à transmettre son entreprise, avec pour conséquence un taux de reprises d’entreprise nettement insuffisant. Ce chiffre préoccupant a été mis en avant lors de la signature de la charte, en décembre dernier, entre le ministère de l’artisanat et les acteurs clés de l’accompagnement et du financement des entrepreneurs, dont la SIAGI.

LA JOURNÉE NATIONALE DES JEUNES AU CŒUR DU RAPPROCHEMENT
ECOLE-ENTREPRISE, FUTURS CHEFS D’ENTREPRISE ARTISANALE

La quatrième édition de la journée nationale des jeunes se tiendra le 20 novembre 2014 partout en France.
Organisée sous le patronage du ministère de l´Education nationale, de
l’enseignement supérieur et de la recherche, cette journée d´actions fédère un
ensemble d´initiatives, prises par des acteurs publics ou privés, pour que les jeunes, en particulier ceux de 14 à 20 ans, perçoivent mieux et de manière concrète leur
avenir, en explorant tant le monde professionnel qui les entoure que leurs propres aspirations et compétences.
Les chambres de métiers et de l’artisanat participent à l´événement ; une occasion de faire connaître et de donner une image positive des métiers de l’artisanat auprès du monde
éducatif, des jeunes et plus largement du grand public.

www.jndj.org

Les chiffres clés de l’artisanat en France

• l’artisanat, c’est 1 069 000 entreprises au 1er janvier 2014 et un chiffre d’affaires de 300 milliards d’euros ;
• un niveau des exportations supérieur à 6 milliards d’euros par an.
• en Europe, 98 % des entreprises sont des entreprises à caractère artisanal ou des petites entreprises (1 à 20 salariés).
• l’artisanat emploie 3,1 millions d’actifs répartis selon quatre activités : 42 % dans le bâtiment, 30 % dans les services, 15 % dans la production et 13 % dans l’alimentation.
• 23 % des artisans sont des femmes.
• Les entreprises artisanales sont présentes de façon relativement homogène sur le territoire : 31 % en communes rurales, 41 % dans les unités urbaines de moins de 200 000 habitants et 28 % dans les communes de plus de 200 000 habitants ;
• 200 000 apprentis sont formés par les entreprises artisanales chaque année, 80 % d’entre eux ont un emploi à l’issue de leur formation.
• Les chambres de métiers et de l’artisanat gèrent 112 centres de formation d’apprentis (CFA), qui accueillent près de 100 000 jeunes pour des formations qui les conduisent à la qualification professionnelle, du niveau V (CAP, CTM) au niveau III (BTS, BM).
• près de 600 spécialités de formations donnent accès à 510 activités artisanales ;
• chaque année, les centres d’aide à la décision (CAD) accueillent près de 350 000 jeunes et 40 000 adultes ;
• 1 chef d’entreprise artisanale sur 2 est issu de l’apprentissage.

Les partenaires de la semaine nationale de la création reprise

Contacts presse : Elisabeth de Dieuleveult : 01 44 43 10 96 - presse@apcma.fr
@EdDieuleveult www.artisanat.fr